S’il s’agit d’une ligne de taille modérée, rien ne presse. Nous apprécions toujours le dossier en dépit des craintes sur l’évolution de l’activité économique en Asie où Schneider Electric réalise environ 30% de son chiffre d’affaires. Le groupe a dépassé les attentes des investisseur en 2018 et son profil devient de moins en moins cyclique grâce au positionnement sur les services et à la conclusion de contrats à long terme avec les clients. L’objectif est d’améliorer la marge brute de 2 points en trois ans grâce à l’optimisation du portefeuille d’activités (des cessions sont envisagées), à de nouveaux gains de productivité et à une simplification accrue. La mise en oeuvre d’un nouveau programme de rachat d’actions de 1,5 à 2 milliards d’euros sur trois ans devrait en outre soutenir le titre.