Elle est possible mais elle va prendre du temps. Entre un marché automobile difficile qui pénalise la branche industrie, la crise sucrière en Europe avec la fin des quotas qui est guère favorable au pôle arracheuses de betteraves et les cours déprimés des céréales qui affectent l’activité de pulvérisation agricole, la société traverse une période très compliquée. Le premier trimestre de l’exercice 2019/2020 n’a pas été bon mais le nouveau management maintient son objectif de stabilité du chiffre d’affaires tandis que les mesures de restructuration amorcées l’an dernier commenceront à avoir un effet positif sur les marges. Il nous semble encore un peu prématuré de renforcer la position. Nous la conservons dans le cadre de notre sélection du « coin du spéculateur ».