Effectivement, le cours actuel est intéressant pour mettre en portefeuille cette valeur verte. Son modèle économique est moins mature que celui des Neoen, Albioma ou Voltalia mais avec un potentiel de développement aussi important (et même davantage) que pour les sociétés mentionnées. Même s’il s’agit d’un dossier de moyen terme, un catalyseur pourrait réveiller ce spécialiste de la valorisation du gaz des gisements et mines de charbon : la mise en oeuvre du projet d’exploitation des énormes réserves des champs de Lorraine. Le choix du mode de financement devrait être annoncé d’ici la fin de l’année. Fait rassurant, La Française de l’Energie s’est engagé à opter pour une solution non dilutive pour les actionnaires.