Effectivement, l’action, Coface résiste remarquablement bien sans doute en raison d’un scénario de récession modérée de l’activité économique en zone euro et aux Etats-Unis et par conséquent d’un risque de sinistralité plus limité. Un retour sur le seuil des 10,50 euros redeviendrait intéressant pour acheter la valeur. Dans le cas de Scor, le titre a continué de chuter depuis que nous avons sorti à perte la position de notre portefeuille d’actions françaises. Nous restons toujours à l’écart du dossier malgré son récent rebond au regard des tensions entre le nouveau directeur général et l’omnipotent président, Denis Kessler. Ce dernier a énormément de mal à passer la main et a fait perdre beaucoup d’argent aux actionnaires de Scor.