Pas spécialement dans la mesure où la société investit principalement dans trois classes d’actifs ( la dette privée, les actifs réels et le private equity) qui ne réagissent pas spécialement bien à la hausse des taux d’intérêts. La dette devient par exemple de plus en plus chère et peut conduire à des situation de défaut de paiement de l’émetteur, tandis que la valeur des actifs réels comme l’immobilier souffre de la hausse des taux, les immeubles étant valorisés avec les taux de capitalisation du moment.