Effectivement, il y a un risque de concurrence. Mais autant le marché aux Etats-Unis est très concentré, autant il est encore très atomisé en Europe. Raison pour laquelle Worldline et l’italien Nexi se sont lancés dans une stratégie de croissance externe opportuniste au cours de ces dernières années pour acquérir des parts de marché. Le partenariat entre Crédit Agricole et Worldline montre l’intérêt des banques pour les spécialistes des solutions de paiement. Après, tout a un prix et il ne nous parait pas normal que Worldline vaille moins que ses fonds propres au regard de la performance extériorisée au cours de ces derniers exercices. Le groupe pourrait constituer une proie facile pour un fonds d’investissement. Raison qui nous incite pour l’instant à conserver la valeur en portefeuille.