Oui. Le récent repli de l’action peut constituer une opportunité dans la mesure où si le début d’année reste difficile aux Etats-Unis en raison de la reprise modérée de l’activité avec les grands clients du secteur de la technologie et surtout de la fin de plusieurs contrats importants sur le segment des affaires publiques (sans compter un certain attentisme lié à l’élection présidentielle américaine) le carnet de commandes se regarnit et permet d’espérer une accélération sur la deuxième partie de l’exercice. La bonne dynamique en Europe en début d’année est une bonne nouvelle et permet au groupe d’afficher une croissance organique de 4,5% conforme à l’objectif annuel (plus de 4%). La perspective d’une marge opérationnelle de l’ordre de 13% a par ailleurs été confirmée. Le dossier reste faiblement valorisé à 11 fois les profits attendus cette année alors que la dette au bilan devrait totalement disparaitre.