Exposé pour plus de la moitié de son chiffre d'affaires à la thématique très favorable de la transition énergétique, ce producteur de composants de protection et de transmission électronique pour l'industrie n'a pas attendu la publication de ses comptes semestriels pour d'ores et déjà relevé ses perspectives de l'exercice. Le titre n'est pas cher.
Alors que la pénurie de composants électroniques pèse de plus en plus sur la production des constructeurs automobiles, Patrick Findeling, Président Directeur général de Groupe Plastivaloire, nous explique comment son groupe gère cette situation et son impact sur son activité après un excellent premier semestre.
Seule foncière spécialisée dans les entrepôts logistiques, Argan affiche une visibilité remarquable. De quoi justifier une prime importante de 23% par rapport à la valeur de son patrimoine là où les concurrentes dotées de portefeuilles de bureaux ou de centres commerciaux décotent.
Malgré des niveaux de valorisation stratosphériques, le titre de ce petit éditeur de logiciels positionné sur le créneau très porteur de la dématérialisation des documents administratifs évolue à ses records historiques. Pour la seconde fois de l'année, le groupe relève ses objectifs annuels.
Eiffage serait l'un des nombreux candidats au rachat du pôle services multi-techniques d'Engie mis en vente. Un gros morceau pour le groupe de BTP et de concessions mais non dénué de pertinence.
Fort d'un énorme succès lors de son introduction en Bourse en février, ce leader français de la conception et de la construction de stations de ravitaillement en hydrogène pour tous type de véhicules à pile à combustible a atteint ses objectifs de chiffre d'affaires et de rentabilité au terme de son premier exercice. Ses ambitions à moyen terme sont confirmées.
En perte de vitesse depuis trois mois, le titre de ce célèbre promoteur immobilier revient à moins de 40 euros alors que les comptes semestriels sont sans surprise et que la dynamique commerciale dans le logement devrait s'améliorer sur la seconde partie de l'année.
Même si un avertissement sur les objectifs de ce leader européen du digital était anticipé, l'ampleur de la révision des perspectives interpelle sur un groupe déjà fragilisé par la multiplication d'erreurs de gestion de sa direction. La forte décote boursière sur les fonds propres de la société incite à faire le dos rond et à conserver les positions. En attendant une OPA.
Nullement déstabilisé par le regain de volatilité observé sur les marchés, le titre de ce laboratoire vétérinaire de dimension mondiale enchaîne les records historiques. Pour la seconde fois de l'année, les objectifs financiers de l'exercice sont relevés.
Fragilisé par l'immobilisation du 737Max de Boeing et par la crise du transport aérien, cet équipementier aéronautique négocie toujours avec ses créanciers l'assainissement de son bilan en vue de profiter du redémarrage de la filière. Le groupe n'échappera pas à une levée de fonds sans doute à l'automne.
