Après avoir fait preuve d’une belle solidité l’an dernier, ce spécialiste de la transformation numérique devrait reprendre cette année le chemin de la croissance. Ses métiers sont porteurs et l’acquisition d’Altran lui offre un positionnement unique dans le secteur. Bien qu’au plus haut, le titre n’intègre pas pleinement les perspectives bénéficiaires du groupe.
Grâce à un patrimoine d'entrepôts logistiques aux meilleurs standards loués à 100%, cette foncière n'a pas souffert de la crise sanitaire. Ses comptes annuels sont excellents et ses perspectives offrent de la visibilité. Très cher, le titre n'a toutefois pas épuisé tout son potentiel.
Les sociétés qui composent le portefeuille de cette société de capital-investissement ont plutôt bien résisté à la crise sanitaire. Son actif net réévalué s’inscrivait ainsi en repli d’à peine 6% au 30 septembre. Le groupe verse un dividende régulier. Le rendement prévisionnel au titre de 2020 ressort à 4,6%, un niveau élevé.
Ce leader européen de la vente en ligne de mobilier et d'équipements de la maison a profité de la crise sanitaire pour réaliser un très bel exercice 2019/2020. Doté d'un solide bilan, le groupe n'est pas très cher.
L’activité de ce spécialiste du leasing automobile offre une belle visibilité, ce qui lui permet de mener une politique généreuse de distribution des dividendes. Le rendement pour 2020 ressort à plus de 5%. Le groupe qui se tourne de plus en plus vers les particuliers évolue sur un marché porteur lié aux nouveaux usages de l’automobile.
Très recherché depuis le début de la semaine pour ses premiers pas en Bourse, Stellantis, né de la fusion entre Peugeot et Fiat-Chrysler, n'est pas très cher et dispose d'un bilan solide.
Parmi les valeurs « vertes » de la cote figure ce petit acteur spécialisé dans la collecte et le traitement des déchets. Alors qu’il s’engagé depuis plusieurs années dans des projets innovants de valorisation des déchets, le groupe souhaite accélérer son développement. La rationalisation de ses activités lui permet de se montrer ambitieux.
Cet acteur mondial de l'événementiel devrait dévoiler en fin de semaine un chiffre d'affaires annuel inférieur à l'objectif déjà révisé en baisse. Le premier semestre manque de visibilité et une recapitalisation dilutive de la société ne doit pas être écartée.
Suez est parvenu à monter une contre-offre à Veolia au même prix de 18 euros en fédérant les fonds Ardian et GIP. Mais, le groupe dirigé par Antoine Frérot ne devrait sans doute pas manquer de répliquer...
Evoluant sur le marché porteur des jeux vidéo, la maison-mère de Nacon, qui développe aussi des accessoires pour les téléphones mobiles et des équipements audio, affiche de belles perspectives de croissance et de rentabilité. Le titre est pénalisé par une décote de holding excessive.
