Grâce à la reprise des échanges mondiaux de marchandises, l’activité de ce petit acteur mondial de l’ingénierie en transport maritime et aérien retrouve peu à peu son cours normal. A la condition que les campagnes de vaccination se passent bien, cette amélioration de ses performances opérationnelles devrait se poursuivre cette année. Le titre n’intègre pas pleinement cette perspective.
Recentré sur le métier porteur d'éditeur de logiciels pour la protection des données, ce groupe franco-américain dispose d'un bilan sain et d'une excellente visibilité liée à la forte récurrence de son chiffre d'affaires. Le titre n'est pas très cher.
Après avoir connu un exercice 2019 délicat, cette société de conseils numériques a été pénalisée l’an dernier par la crise sanitaire. Le redressement de son activité conjugué aux mesures d’économies et d’amélioration de l’efficacité opérationnelle mises en place devraient se traduire par des résultats en progrès en 2021, et plus encore en 2022.
En chute de 13% en Bourse hier, ce leader mondial des services informatiques est lourdement sanctionné à la suite de la confirmation de son intention de racheter une cible américaine plus importante que lui et en difficulté.
L’éditeur de jeux vidéo évolue sur un marché porteur. Ses résultats devraient sensiblement progresser au cours des prochains exercices. La concentration dans le secteur bat son plein, ce qui ajoute une dimension spéculative à la valeur.
Le titre de ce leader français des services immobiliers renoue avec ses meilleurs niveaux sur six mois à la suite du relèvement des objectifs du précédent exercice. L'action demeure raisonnablement valorisée et offre du rendement.
Le réassureur a mieux traversé la crise que les marchés l’anticipaient. Preuve de la pertinence de son modèle. Le titre est faiblement valorisé au regard de ses solides fondamentaux, et, à la condition que son autorité de tutelle lui permette de verser un dividende, il offre un rendement attrayant et pérenne.
Le temps de la montée en puissance des campagnes de vaccination, ADP devrait rester sous pression au premier semestre toujours pénalisé par la virulence de l'épidémie et des mesures de confinement décidées par les différents pays. Pour ne rien arranger, en démissionnant du conseil d'administration, le patron de Vinci montre qu'il n'est plus intéressé par un éventuel rachat d'ADP.
Le leader mondial des services pétroliers, toujours coté à Paris, s’est rapidement restructuré pour affronter la nouvelle donne sur le marché pétrolier issue de la pandémie. Il a renforcé son offre digitale, et prépare l’après-pétrole. La reprise progressive des investissements des compagnies pétrolières devrait soutenir son activité.
Comme annoncé mi-septembre, ce groupe familial spécialisé dans l'emballage se sépare de son pôle industrie-santé pour se recentrer sur le luxe et la santé. Désendetté, le groupe débute une nouvelle page de son histoire. Le titre décote de 41% sur les fonds propres de la société.
