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La valeur du jour

Bouygues, pour miser sur un rattrapage

Le holding présent dans la construction, les services à l'énergie, les télécoms et les médias a été particulièrement touché en bourse par le risque politique qui ne doit pourtant pas être surestimé. Au point de retomber sur des niveaux de valorisation très attractifs alors que le titre procure un rendement élevé et pérenne.

Lacroix : un repositionnement mal valorisé

Désormais recentré sur les équipements électroniques et l’environnement, le groupe devrait retrouver une dynamique plus favorable à partir du deuxième semestre. Le titre semble excessivement sanctionné au regard du repositionnement effectué et des éléments du bilan.

Scor Pixabay.com

Scor : Une sanction sévère

L’action du réassureur a été entrainée dans la baisse générale du marché parisien alors que l’activité est peu dépendante du contexte politique français. Sa faible valorisation et son rendement élevé la rendent particulièrement attractive d’autant que le capital éclaté peut donner lieu à terme à une OPA.

Rubis : un retour au calme propice pour entrer sur le dossier

Après avoir obtenu la confiance de ses actionnaires lors de la dernière assemblée générale du 11 juin dernier, les dirigeants du distributeur de produits pétrolier vont pouvoir mettre en œuvre leur stratégie plus sereinement et poursuivre une politique de distribution généreuse. Le dossier conserve malgré tout une certaine dimension spéculative.

Interparfums Pixabay.com

Interparfums : une valorisation plus raisonnable

Le fabricant de parfums de prestiges sous licence évolue sur un secteur assez défensif et peut défendre ses marges en modulant ses frais de publicité. La montée en puissance des parfums Lacoste constituera un catalyseur essentiel pour la croissance des ventes et des profits à moyen terme.

GL Events - Pixabay.com

GL Events, une décote injustifiée

Largement impliqué dans l'organisation des Jeux Olympiques de Paris, cet acteur mondial de l'événementiel devrait réaliser un bel exercice 2024. Pas de quoi justifier que la capitalisation boursière soit inférieure aux fonds propres du groupe.

Vinci-Pixabay.com

Vinci, des risques politiques excessifs

Le titre de ce leader mondial du BTP et des concessions est pénalisé de façon excessive par les risques politiques. L'Etat n'a pas les moyens de privatiser les autoroutes françaises, ni de revenir sur le principe contractuel de l'indexation des tarifs de péage à l'inflation.

Mersen, une baisse excessive du titre

La chute de 15% du titre de cet expert mondial des spécialités électriques et des matériaux avancés depuis que la dissolution de l'Assemblée nationale a plongé le pays dans une grave crise politique paraît excessive. Très international, et positionné sur les métiers stratégiques des panneaux photovoltaïques, des batteries pour les véhicules électriques et des semi-conducteurs, le groupe dispose d'une forte visibilité encore raisonnablement valorisée à moins de 10 fois les profits.

Lisi, une valorisation à la casse

Le titre de cette affaire industrielle spécialisée dans la conception et la fabrication de solutions d'assemblage pour les secteurs de l'aéronautique, de l'automobile et du médical a perdu 20% de sa capitalisation boursière depuis le 20 mai malgré un début d'année encourageant et la confiance du management sur l'ensemble de l'exercice.

Vallourec pour miser sur un nouveau départ

Le titre de ce leader mondial des tubes sans soudure pour l'industrie du pétrole et des nouvelles énergies retombe au prix auquel ArcelorMittal a racheté la participation de 27,5% du fonds Apollo. Une opportunité de redécouvrir ce dossier financièrement complètement restructuré et tiré d'affaire.

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