Nexans espère remonter la pente en 2019
Après une année 2018 très difficile, le groupe espère rebondir grâce à un carnet de commandes bien garni et aux fruits de ses restructurations.
Après une année 2018 très difficile, le groupe espère rebondir grâce à un carnet de commandes bien garni et aux fruits de ses restructurations.
Cet éditeur mondial de logiciels et d'équipements de conception et de fabrication assistées par ordinateur est en train de faire évoluer son business modèle vers l'utilisation de ces solutions en mode Saas (à la demande du client). Pertinente à long terme, la stratégie pourrait dans l'immédiat peser sur les profits.
Avec une croissance organique de 29,4% de son chiffre d’affaires en 2018, Kering a été le meilleur élève de son secteur. Il devrait logiquement le rester cette année dans un contexte favorable pour ses marques.
Parfaitement en ligne avec les attentes, la publication du chiffre d’affaires annuel valide la pertinence de la stratégie et confirme l’excellente visibilité. Il n’est pas trop tard pour acheter.
L’assureur-crédit récolte les fruits de son plan stratégique « Fit to win » qui doit lui permettre de faire face à la montée des risques. L’action reste bon marché et offre un gros rendement.
Aures technologies a délivré un très bon chiffre d'affaires annuel mais dans le détail le second semestre plus difficile inquiète. La baisse du titre ramène la valorisation à des niveaux attractifs mais le moment ne semble pas opportun pour se positionner à l'achat.
La maison de luxe affiche la valorisation la plus élevée de son secteur, en partie justifiée par une résilience à toute épreuve sur la durée.
Cela fait deux publications consécutives que ce spécialiste des équipements de sport et de loisirs déçoit. Le départ d'un membre de l'équipe de direction également présent au tour de table incite à davantage de prudence de cette affaire familiale.
Le spécialiste de la détection de piétons pour véhicules industriels vise le compartiment Euronext Growth et une valorisation de 40 millions d’euros.
Nouvelle désillusion sur le titre de cette troisième agence mondiale de communication qui figure à notre sélection du « coin du spéculateur » à un prix de revient élevé de 61,72 euros....