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La valeur du jour

Séché Environnement : un potentiel de croissance intact

Le spécialiste de la gestion des déchets souffre d’une base de comparaison élevée en ce début d’année mais devrait pouvoir tenir ses objectifs annuels grâce à son positionnement porteur sur les marchés de l’économie circulaire et de la transition énergétique. La valorisation du titre devient attractive.

Wavestone - Pixabay.com

Alten, une sanction excessive

Pourtant annoncé depuis mi-2023, le ralentissement de la dynamique du chiffre d'affaires de ce leader européen du conseil et de l'ingénierie en haute valeur ajoutée a été sévèrement sanctionné en Bourse. Un rebond est espéré à partir du mois de septembre et la qualité de l'entreprise demeure intacte avec notamment un bilan très solide doté d'une trésorerie estimée de 391 millions représentant près de 10% de la capitalisation boursière. A 13,7 et 12,4 fois les profits estimés pour cette année et 2025, le titre décote sur sa moyenne de long terme de 16,9 fois.

Lacroix : le plus dur est passé

Le spécialiste des équipements électroniques et des solutions pour réseaux connectés dans le l’industrie, la gestion des infrastructures et de la voirie intelligente devrait bénéficier de la reprise en main de ses activités en Amérique du Nord et de la cession de son pôle signalisation. Le marché a largement intégré le risque d’un manquement des objectifs pour 2025.

Catana Group Pixabay.com

Catana : une sanction sévère

Le constructeur de catamarans a perdu de la visibilité dans une conjoncture moins favorable mais il retrouve des conditions de production plus favorables. Les relais de croissance sur les segments des voiliers de très grande taille et des bateaux à moteur permettent d’envisager une poursuite de la croissance rentable.

Burelle : les diversifications prennent du poids

Le holding de contrôle de OP Mobility (ex Plastic Omnium) récolte les fruits de ses diversifications dans l’immobilier et le capital investissement qui représentent 28% de la valeur de ses actifs. La décote boursière par rapport à ces actifs est toujours excessive, autour de 50%, alors que la principale filiale, OP Mobility devrait se revaloriser nettement à moyen terme.

Bains de Mer de Monaco Pixabay.com

Bains de Mer de Monaco : résilience et décote

Le groupe détenteur d’établissements hôteliers et de jeux haut de gamme dans la principauté de Monaco affiche des résultats solides et plus réguliers grâce à ses investissements dans l’immobilier locatif. Le titre apparait toujours faiblement valorisé par rapport au patrimoine hôtelier prestigieux ainsi qu’aux actifs financiers du bilan.

Vicat, encore du potentiel !

A moins d'une nouvelle flambée des prix de l'énergie dont l'industrie cimentière est très sensible, ce groupe familial devrait continuer de voir sa rentabilité s'améliorer et son endettement net diminuer. Des perspectives imparfaitement prises en compte dans le marché à 6,4 et 6,3 fois les profits sachant que la capitalisation boursière décote de 46% par rapport aux fonds propres du cimentier.

Bouygues pixabay.com

Bouygues, de la décote et du rendement

Présent dans la construction, les services à l'énergie, les télécoms et les médias, ce célèbre holding familial est valorisé à peine 10 fois ses profits et offre un rendement pérenne supérieur à 5,5%.

Elior Pixabay.com

Elior pour miser sur une valeur en retard

Repris en main par la famille Derichebourg, ce leader de la restauration collective et des services aux entreprises devrait commencer à percevoir les fruits de sa restructuration et des synergies. Talon d'Achille du dossier, l'endettement net devrait commencer à diminuer grâce au retour à une génération de flux nets de trésorerie positive. A 13,6 et 7,1 fois les profits pour cette année et 2025, la valorisation reste perfectible.

Gecina Pixabay.com

Gecina, un traitement trop sévère

2023 a sans doute marqué un bas de cycle avec une dépréciation de 10,6% de la valeur des actifs de cette foncière de bureaux parisiens loués à près de 94%. La perspective d'un assouplissement de la politique monétaire de la BCE devrait permettre une réduction de la décote de l'action actuellement de 36% par rapport à la valeur du patrimoine (après déduction des dettes).

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