Après un très beau début d'année, le titre de ce leader mondial de la transformation digitale subit quelques prises de bénéfices dans le sillage d'un message prudent mais confiant du management pour cette année. Le titre demeure raisonnablement valorisé. Une occasion de revenir sur le dossier.
Le groupe de radios et de télévisions fait face au ralentissement du marché publicitaire ainsi qu’à la flambée des prix de l’électricité. Malgré la baisse des marges attendue en 2023, le dossier apparait toujours nettement sous-évalué par rapport à la valeur des actifs et au montant de la trésorerie nette qui représente la moitié de la capitalisation boursière.
Même si la marge de ce leader mondial de la construction durable risque d'être sous pression cette année, la visibilité à moyen terme reste soutenue par la transition énergétique des bâtiments encouragée par les mesures d'incitations gouvernementales. Pas de quoi justifier une décote aussi importante sur la valorisation de long terme.
Le fabricant de matériaux semiconducteurs innovants devrait compenser le ralentissement de la demande du marché des smartphones par une bonne dynamique dans l’automobile et les objets intelligents. La baisse du titre depuis le début de l’année offre une fenêtre de tir pour se positionner.
Massacré en Bourse depuis un an en raison de l'attentisme des ménages inquiets de l'érosion de leur pouvoir d'achat et de la hausse des taux d'emprunt, ce premier réseau mondial de construction de piscines enterrées se paie moins de 10 fois des perspectives très prudentes de profits et sa trésorerie représente à elle-seule près d'un quart de la capitalisation.
Mieux organisé, le spécialiste de la plaisance a effacé tout le retard de production engendré par les difficultés d’approvisionnement au début de 2022. L’amélioration des marges et la robustesse du carnet de commandes ne sont pas encore suffisamment pris en compte par la bourse.
Le titre de ce célèbre holding présent dans l'édition et les boutiques sur les lieux de transport marque le pas depuis un mois et continue de décoter sensiblement par rapport au prix auquel Vincent Bolloré s'apprête à racheter plus de 80% du capital.
Le résultat opérationnel de l’équipementier automobile a chuté de près de 40% en 2022, mais la rebond progressif des immatriculations au niveau mondial et les relèvements de prix pratiqués laissent entrevoir un net redressement dès cette année. Le titre reste peu valorisé au regard de la trésorerie au bilan.
Cette très belle affaire familiale spécialisée au niveau mondial dans les équipements de protection a dévoilé sur le dernier exercice un chiffre d'affaires de qualité. La résilience de la conjoncture en Europe et son redémarrage en Chine constituent des signes plutôt rassurants pour cette année. Le titre n'est pas très cher.
La société spécialisée dans l’immobilier sur l’île de la Réunion continue d’étoffer son patrimoine et ses revenus en les finançant par des opérations de promotion. Elle est la seule de son secteur à être éligible au PEA et son dividende procure un rendement de 6%.
