A 8,5 et 7,9 fois les profits pour cette année et 2021, le titre Atos affiche une valorisation excessivement faible et la société commence à profiter depuis le troisième trimestre 2019 d’un redressement de son activité d’infogérance aux Etats-Unis. La sortie du capital de sa filiale spécialisée dans les services de paiements,  Worldline, va lui redonner les moyens financiers d’accélérer son développement sur les métiers les plus porteurs du cloud, du traitement des données et du digital. Nous sommes plutôt partisans de conserver la position pour viser un objectif de cours de 95 euros.