Non attendez…. Il faut être patient sur ce dossier en raison de son manque de visibilité à la fois en termes de gouvernance avec l’arrivée prochaine d’un nouveau directeur général, de l’avenir de l’alliance avec Nissan et du marché automobile mondial. Nous pensons qu’une bonne partie de ces mauvaises nouvelles sont dans les cours au regard de la faible valorisation du titre (la valeur de Nissan représente l’essentiel de la capitalisation du constructeur) et que dans le pire des cas où un divorce entre Renault et Nissan devait se produire, le constructeur français empocherait beaucoup d’argent de la vente de sa participation au tour de table du groupe japonais et se rapprocherait d’un autre concurrent. Mais a court terme, le titre Renault peut continuer de rester sous pression tant que les doutes ne sont pas levés. Le moment n’est pas encore venu de renforcer votre position. Conservez-la et soyez patient.