Fuir est un terme un peu fort pour une société qui n’a pas démérité, avec un chiffre d’affaires en hausse de 28% et un bénéfice en croissance de 45% sur deux ans! Le parcours boursier n’est pas non plus si catastrophique. Le consensus table encore sur une progression de 18% du bénéfice en 2024 puis 16% en 2025. Il n’y a donc pas urgence à vendre. Il ne faut cependant pas exclure que Vivendi cède sa participation résiduelle de 10% dans UMG, ce qui pourrait peser à court terme sur la valorisation.