Ce n’est pas idiot effectivement car cet ensemblier industriel français semble voir le bout du tunnel. Le tribunal de commerce de Paris a validé mi-juin l’accord de restructuration financière prévoyant 220 millions d’apport d’argent frais de la part des banques et autres acteurs pour effacer les lourdes pertes constatées en 2019 à la suite d’une succession de faillites de sous-traitants dans des projets d’usines « Waste-to-Energy ». En raison de la contribution toujours négative de la branche environnement et des conséquences de la crise sanitaire, le groupe table pour cette année sur une marge brute d’exploitation toujours négative. Mais le carnet de commandes de 1,35 milliard est solide et donne de la visibilité avec à la clé un retour au profit sans doute l’an prochain. Essayez de renforcer votre position vers 14 euros.