C’est vrai que la performance de Burelle est décevante, mais la décote de ce holding qui permet à la famille Burelle de contrôler l’équipementier automobile Plastic Omnium (60,01% du capital) est structurellement élevée depuis plusieurs années et il faut reconnaitre aussi que la performance de Plastic  Omnium déçoit depuis  la révision en baisse des objectifs pour 2023 à l’occasion de la publication du chiffre d’affaires du troisième trimestre qui a été lourdement sanctionnée par une chute du cours de 22,8% sur la seule séance du 26 octobre. Même si Burelle intervient aussi dans le domaine du capital investissement à travers sa filiale à 100%, Burelle Participations et dans l’immobilier avec la filiale à 100% Sofiparc, son cours reste majoritairement dépendant de celui de Plastic Omnium. Nous avons récemment calculé s une décote boursière très excessive de 46% alors que Plastic Omnium devrait bientôt récolter les fruits de ses gros investissements (notamment dans l’hydrogène). A terme, une fusion entre Plastic Omnium et sa maison mère Burelle SA ne peut être exclue, ce qui permettrait d’effacer la décote.  Nous sommes plutôt positifs sous 400 euros.