Nous ne sommes pas très favorables au secteur des foncières à part celles positionnées sur le logement et sur les centres commerciaux. Ces dernières massacrées à cause des fermetures de centres bénéficient d’un potentiel de rebond important avec l’arrivée dans les prochains mois de vaccins contre le coivd. A plus long terme, la forte concurrence d’internet limite leur visibilité. Concernant les foncières de bureaux comme Tour Eiffel, là aussi, la crise sanitaire a accéléré les modes de travail avec le basculement des salariés en télétravail, ce qui va conduire les entreprises largement pénalisées par la dégradation de la conjoncture à réaliser des économies en réduisant les surfaces occupées. Heureusement, Tour Eiffel n’est pas très endettée (39% de la valeur du patrimoine) et dispose d’actifs de qualité situés dans le Grand Paris qui trouveront toujours preneurs. La décote de 47% est importante mais ce n’est pas le type de sociétés qui profiteront en premier d’un rebond du marché. Conservez pour l’instant.