La nomination de la nouvelle directrice générale, Christel Heydemann, a été bien reçue par les marchés. Mais les défis qui l’attendent sont nombreux, notamment celui de relancer la croissance du groupe dans un secteur fortement concurrentiel. Mais le titre est bon marché, avec des multiples de capitalisation des profits pour 2022 et 2023 respectivement de 9,5 et 8,7 fois, et son rendement prévisionnel au titre de 2021 est attrayant, à 7,5%. D’autre part, il possède de nombreux gisements de valeur qui ne sont pas valorisés par les marchés : ses activités en Afrique et au Moyen-Orient, sa filiale dédiée aux tours de télécommunication, et enfin sa branche consacrée à la cybersécurité. Un retour aux alentours des 12 euros nous semble possible, mais il faudra vous montrer patient.