Les résultats du premier semestre ont pu légèrement décevoir même si le groupe a stabilisé son chiffre d’affaires malgré le recul des activités de consignes lié à la modification des contrats commerciaux au Japon. Le déclin du métier de solutions pour le courrier a été bien amorti par la bonne tenue des ventes d’équipements tandis que les activités digitales ont poursuivi leur montée en puissance. Mais en raison d’un surcroit d’amortissements et de charges de restructurations, le bénéfice a chuté de 32,8% . La bonne nouvelle vient d’une réduction de la consommation de cash et de la hausse limitée de l’endettement net qui permet une légère amélioration du ratio de levier financier hors leasing, permettant le lancement d’un programme de rachat d’’actions de 30 millions d’euros destiné à améliorer le rendement de l’actionnaire. Nous restons positifs, sachant que le dossier comporte aussi une dimension spéculative eu égard à la présence du milliardaire Daniel Kretinsky dans le tour de table.