Pourquoi pas autour de 6 euros. Les résultats du premier semestre seront publiés le 19 septembre. Nous n’attendons pas d’évolution majeure sur un an étant donné la faiblesse de la volatilité sur les marchés (plus la volatilité est forte et plus le groupe en profite dans ses stratégies d’arbitrages) et du ralentissement du marché des fusions et acquisitions dont le groupe se nourrit aussi. En admettant que les résultats stagnent cette année, le groupe devrait pouvoir maintenir son dividende qui procure un rendement intéressant de l’ordre de 7%.