Je n’arrive pas à suivre le comportement boursileur ! en dépit du « frein » Bombardier les lendemains devraient chanter au regard des pluies d’annonces de contrats vraiment fl
Bombardier disposait dans son carnet de commandes de contrats peu rentables qu’Alstom a découvert en rachetant la filiale canadienne et qu’il a dû déprécier. Il a fallu financer aussi les investissements nécessaires à la réalisation de ces contrats, ce qui a conduit au premier semestre le groupe français à consommer un peu moins de 1,5 milliard de trésorerie. Avec la confirmation des objectifs sur l’exercice en cours (retour à une génération de flux nets de trésorerie dès le second semestre) et à moyen terme (croissance moyenne de 5% par an du chiffre d’affaires et d’une marge opérationnelle courante de 8% à 10% à l’horizon 2024/2025), nous avons le sentiment que les risques sur l’intégration de Bombardier sont désormais sous contrôle. Raison pour laquelle nous conseillons dans la lettre qui vous est adressée ce soir par internet à 17h45 de renforcer les positions à 33 euros. Le carnet de commandes permet de juger de la visibilité sur l’activité mais si les contrats sont peu rentables, cela ne constitue pas forcément un indicateur pertinent pour apprécier la qualité de l’affaire.