Effectivement la sanction  sur le titre du leader mondial des tubes sans soudure pour l’industrie pétrolière est excessive et nous avons déjà eu l’occasion de l’indiquer dans les réponses faites à nos abonnés sur le sujet et dans la version papier de la lettre de cette semaine disponible sur le site depuis hier soir 17h45 et normalement dans votre boite aux lettres dès ce matin. Le problème est que le titre fait l’objet d’une spéculation acharnée de la part de fonds qui vendent l’action à découvert. Il est donc difficile de guetter l’opportunité de revenir sur le titre. Sur un plan fondamental, le groupe consomme toujours des liquidités et les espoirs d’un retour à une génération des flux positifs ont été repoussés à 2020. Fort heureusement, le groupe n’a pas de grosses échéances financières à rembourser avant 2022 et l’endettement net demeure encore inférieur aux fonds propres, de sorte qu’une augmentation de capital n’est pas nécessaire à court terme. Conservez