Ne vous précipitez pas… L’amélioration de la rentabilité brute d’exploitation au second semestre (7,7% contre 7,1% sur les six premiers mois) est un peu moins forte qu’anticipée et reflète les premiers effets positifs des revalorisations tarifaires pour absorber le choc inflationniste. L’autre déception concerne la génération de flux nets de trésorerie négative de 6,4 millions qui maintient le bilan sous pression avec un endettement net important représentant 93% des fonds propres. Le message pour le nouvel exercice demeure prudent avec la perspective d’un redressement plus lent que prévu des marges. Pour autant, la valorisation du titre apparaît massacrée avec décote de 69% sur les fonds propres de l’entreprise. Commencez progressivement à renforcer votre position sous les 3,6 euros.