Nous le pensons. A 9,4 fois le profit net estimé en 2020 et seulement 8,8 fois celui escompté pour 2021, cet opérateur télécoms est particulièrement sous-valorisé. Le principal catalyseur identifié est la clarification de la politique de dividende, sachant que le rendement était particulièrement élevé avant la crise sanitaire – l’épidémie a obligé le groupe de Stéphane Richard à raboter cette distribution. A horizon 12 mois, nous estimons que le titre pourrait rebondir de 15-20%, justifiant de renforcer au cours actuel (sans forcer). A plus long terme, nous sommes plutôt neutres car Orange peine à afficher de la croissance.