Comme il l’avait annoncé il y a quelques jours, le réassureur a fait évoluer sa stratégie de provisionnement qui est à l’origine des mauvais résultats du premier semestre. Le responsable de la branche santé et vie, à l’origine des pertes du semestre a par ailleurs démissionné. Le groupe repart donc sur des bases plus saines et apparait très décoté par rapport à la valeur économique estimée à 47 euros par action. La politique de distribution ne devrait pas être modifiée, ce qui signifie que le rendement du titre approche 8%. Enfin avec la baisse de sa valorisation, le groupe qui était déjà opéable le devient encore plus. Nous sommes à l’achat.