Nous avons coupé beaucoup trop tôt en début d’année la position, qui figurait à notre portefeuille d’actions françaises. La sortie de la famille Arnault du tour de table de Carrefour montre malheureusement qu’il n’y a rien à espérer sur le secteur de la distribution. Celui-ci est beaucoup trop concurrentiel en France. Ce qui n’enlève rien aux efforts et au succès avec lesquels Alexandre Bompard parvient à transformer le leader européen en optimisant sa structure de coûts, en le recentrant sur ses principaux marchés et en le repositionnant sur le bio et internet. Malheureusement, la Bourse n’en veut pas et l’ingérence dont a fait preuve l’Etat en début d’année en bloquant l’OPA à 20 euros du canadien Couche-Tard a fini par retirer au dossier sa dimension spéculative. Nous sommes à l’écart du titre.