Comme toutes les introductions en Bourse réalisées depuis le printemps, la filiale de Peugeot spécialisée dans la vente de voitures reconditionnées souffre d’un manque d’intérêt de la part d’investisseurs plus prudents. La crise dans l’automobile provoquée par la pénurie de semi-conducteurs pousse les ménages à acheter des véhicules d’occasion plutôt que neufs. Raison pour laquelle le groupe a relevé ses objectifs de croissance du chiffre d’affaires. Par contre, le manque à gagner en termes de production automobile mondiale réduit les stocks d’Aramis. A 1 fois son chiffre d’affaires, la valorisation d’Aramis nous semble toujours attractive. Nous vous conseillons de conserver votre position.