L’avertissement sur les résultats pour cette année passe mal même s’il n’est pas d’une gravité extrême puisque la direction  table désormais sur une croissance organique du chiffre d’affaires comprise entre 13% et 14% au lieu de 14% à 16% en raison du décalage de certains projets de migration vers le cloud ou d’extension d’infrastructures existantes. La  marge d’excédent brut d’exploitation ajusté serait malgré tout supérieure à 36% sur l’exercice ( 39% précédemment dns la prévision initiale). Le dossier n’est pas excessivement valorisé mais les investisseurs s’inquiètent du ralentissement de la demande cloud en général. Nous vous conseillons de simplement conserver.