Rien ne presse. L’activité a encore reculé de 1,5% à données comparables au quatrième trimestre 2024 et la direction prévient que le premier semestre 2025 s’inscrira sur une tendance identique en attendant un hypothétique rebond au deuxième semestre. Le groupe souffre de la faiblesse de la demande dans l’industrie (notamment l’automobile) en France. Seule bonne nouvelle, la marge opérationnelle se maintient à 13,3% grâce à une évolution de l’offre vers des services à plus forte valeur ajoutée et aux mesures d’efficacité opérationnelle. Le titre n’est pas très cher, autour de 14 fois les bénéfices estimés pour 2024, mais l’absence de croissance (notamment par rapport aux concurrents) n’incite pas à s’exposer au dossier à court terme.