Vicat, du rendement pas cher
Cette vieille affaire familiale spécialisée dans la production de ciment aux quatre coins du monde décote de moitié par rapport à ses fonds propres et offre un rendement proche de 6%.
Cette vieille affaire familiale spécialisée dans la production de ciment aux quatre coins du monde décote de moitié par rapport à ses fonds propres et offre un rendement proche de 6%.
A moins d'une nouvelle flambée des prix de l'énergie dont l'industrie cimentière est très sensible, ce groupe familial devrait continuer de voir sa rentabilité s'améliorer et son endettement net diminuer. Des perspectives imparfaitement prises en compte dans le marché à 6,4 et 6,3 fois les profits sachant que la capitalisation boursière décote de 46% par rapport aux fonds propres du cimentier.
Encore décoté et pas cher, le titre du cimentier revient sur ses plus hauts du début 2022 à la suite de la publication de comptes annuels de qualité et d'une bonne visibilité sur les perspectives. Le rendement supérieur à 5,5% est attractif.
Ce cimentier fait partie des rares sociétés à relever ses objectifs de l'année. Malgré son très beau parcours depuis le début de l'année, le titre décote de moitié sur les fonds propres du groupe et le rendement de 5,6% est attractif.
Contrôlé à 61,6% par les familles Merceron-Vicat, ce cimentier s'est distingué au premier semestre par la qualité de ses performances. Au point de se montrer plus ambitieux sur l'ensemble de l'année. Malgré un très beau rebond en Bourse, le titre décote de moitié par rapport aux fonds propres de l'entreprise.
Après un rattrapage encourageant en début d'année du titre de ce cimentier, celui-ci reperd du terrain malgré la publication au premier trimestre d'un chiffre d'affaires plutôt soutenu. A moins de 7 fois les profits estimés pour cette année et 2024, l'action apparaît largement décotée.
Très décoté, le titre de ce cimentier européen, contrôlé à 61,6% par les familles Vicat-Merceron, se reprend dans le sillage d'un message plutôt positif de la direction pour cette année.
Le titre de ce cimentier décote de plus de 50% par rapport à ses multiples de long terme et par rapport à ses fonds propres comptables. Très dépendante des prix de l'énergie, cette affaire familiale a averti à l'automne sur ses comptes du dernier exercice. Les perspectives manquent de visibilité.
Traditionnellement peu bavard, le patron du dernier cimentier français, Vicat, a accepté de faire le point sur le dernier exercice et de livrer ses analyses sur la stratégie RSE du groupe et ses perspectives à moyen terme.
Les marchés boudent le titre du cimentier isérois alors que ce dernier a enregistré un chiffre d’affaires d’excellente facture au titre du troisième trimestre, et qu’il a réussi à passer des hausses de tarifs pour compenser le renchérissement des prix de l’énergie. Ses marchés se montrent dynamiques, et les prix de vente restent bien orientés.